• Histoire du lez, chapitre 3

    Chapitre 3

     

    C’est un mardi du mois de juillet, en pleine vacances, je vais au bord du lez, vers mon coin habituel, pour mon bain, puis la séance de bronzage comme chaque jour pendant mes congés.
    C’est à peine 13H00, j’entends des voix arriver, en principe il n’arrive personne avant 14h00 voire 15h00,  là, c’est bien tôt. Je vois en face de l’autre côté du Lez, un groupe de jeunes filles et garçons environs une quinzaine plus de garçons que de filles, ils ont quoi, disons dans les 15 ans, je suis relativement loin d’eux donc rien à craindre.
    Ils me voient étalé sur ma serviette de loin, puisqu’ils ont de l’autre côté sur les hauteurs, alors que je suis en face sur la grave et donc en contre bas, hep,  nudiste, ça y va dans tous les sens, c’est interdit de se foutre à poil ici, c’est pas le cap d’Agde, (ça c’est sûr pensais je, le Cap est un endroit dégoûtant, ou il règne un climat mal sain, ou les gens font des choses dégueulasses même devant des autre et sans gêne). Ici, c’est la nature, le calme on est mieux imprégnés de tout ça, si on y est totalement nu. Chose difficile à faire comprendre à une grande partie de la population quoi que les mœurs évoluent. Vous avez tort, la nature est magnifique vous devriez vous baigner nu également, attends qu’ils me disent on arrive, et les filles de répondre : oh, oui on veut le voir de plus près.
    Ca sent mauvais, je décide de lever le camp, j’abandonne la serviette prend mon short dans ma main et part rapidement, et j’entends derrière moi : à l’attaque, à la charge… et je vois de loin une horde courir vers moi, je me mets à courir le long de la rivière passant d’un bord à l’autre, nageant quand il y a trop d’eau. Au bout d’un quart d’heure je n’entends plus rien, je scrute les berges du lez au loin et je ne vois rien. Super ils ont abandonnés, dans ma fuite j’ai laissé tomber mon short, me voilà bien totalement à poil sans rien pour rentrer chez moi. Je vais essayer de voir si j’arrive à récupérer ma serviette, je remonte lentement en regardant biens dans tous les sens, l’adrénaline est à son maximum. J’aperçois au loin les jeunes, et tout d’un coup entend derrière moi craquer une branche, je me retourne et horreur deux filles qui s’étaient certainement planquées là et qui se mirent à crier : il est là, venez vite. Je fonce de nouveau dans un sous-bois, je vais si vite que mes couilles et ma teub bougent dans tous les sens. J’arrête au bout d’un moment espérant que tout le monde sera parti, et je reviens sur mes pas, les filles sont toujours là, je décide de parlementer lorsque j’ai vu qu’elles tenaient mon short. Viens le chercher si tu veux le retrouver, je me suis dit, elles veulent me voir de près, je risque rien à y aller, j’avance doucement vers elles, et soudain je fus entouré de tous les jeunes, leur piège avait fonctionné.
    Je me cache le sexe avec les mains, ça sert à rien me lance un des mecs, si tu veux revoir ton short tu fais ce qu’on te dit, ok et vous voulez quoi au juste. Te voir à poil, les filles en rêvent depuis longtemps de voir un type nu et le faire bander pour voir à quoi ça ressemble. Ah ! bon, j’enlève mes mains et les mets le long du corps, ils étaient en cercle autour de moi, tu vas passer devant chacun de nous doucement une fois de face et une fois de dos, je m’exécute, après ces deux tours l’excitation commence à se faire sentir, maintenant il faut que tu bandes et refait un tour en érection, c’est l’horreur, plus exactement la gêne.
    Mais bof, si ça s’arrête là, ce n’est pas bien méchant, en fait ça continue, allonges toi au sol sur le dos les jambes bien écartées et tu te branle devant nous, je m’exécute, j’entends les jeunes pouffer de rire, les filles dire c’est dégelasse et au bout d’un moment j’éjacule et en met partout sur mon ventre, je vois quelques flash de téléphones portables, on me demande de ramasser mon foutre avec les doigts et de le bouffer, je m’exécute et bouffe tout, un petit gout salé, mais c’est pas d égueulasse comme on pourrait le croire, ce qui me valut de recevoir mon short et ma serviette en pleine poire, puis tout le monde s’en va me laissant ainsi seul allongé par terre.
    Je pense avoir eu beaucoup de chance ce jour-là, une branlette même devant des filles, ils auraient pu faire pire et je ne pouvais rien devant une quinzaine d’individus, j’en ai repéré quelques-uns, et si un jour l’occasion se présente je me vengerai.

     Le chapitre 4 traitera, de la vengeance infligée aux deux jeunes du groupe que j’ai retrouvé quelques jours plus tard.

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