• Histoire du lez, Chapitre 8

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    Histoire du lez, Chapitre 8

    Chapitre 8

     

      Les vacances sont finies pour tout le monde, enfin presque, les enfants sont rentrés à l’école aujourd’hui, je vais pouvoir continuer à traîner au bord du lez encore toute cette semaine, et plus si le temps le permet encore, les derniers rayons de soleil sur mes fesses hum !.
    Quel sera le programme cette semaine, je viendrai jeudi à midi pile, et resterai jusqu’à 13H00, pas plus, j’ai fait un pari stupide avec un pote que j’ai perdu, le gage est pour ma gueule.
    Ce n’est pas que c’est un gage difficile, mais c’est plutôt un gage gênant voire humiliant, je vais me pointer jeudi midi avec mon pote, je dois lui donner l’ensemble de mes vêtements, il me laisse mes chaussures, et je dois rester là au bord du lez jusqu’à 13h00, heure où il reviendra me rendre mes vêtements.
    Dans mon malheur j’ai de la chance, normalement, je dis bien normalement à cette heure-là, il n’y a jamais personne d’autant plus que l’école a repris, donc le fait d’être à poil au bord de l’eau n’est pas gênant. Mais il est capable d’ameuter tout Prades et faire venir du monde.
    Ce qu’il faut savoir, c’est que si quelqu’un débarque je dois lui obéir sans rechigner, je dois faire tout ce qu’on me demandera, c’est pour ça que je suis à peu près sûr qu’il le dira pour faire venir du monde. J’avais déjà perdu un pari dans le même style avec lui et j’avais dû subir quelques épreuves hard avec ses copains, après un match de hand Ball dans la halle aux sports.
    Donc bien entendu je vais passer une heure planqué derrière des buissons, a bien surveiller si quelqu’un vient, je ressortirai juste à 13h00 pour réceptionner mes vêtements. Le gage dit que, s’il y a du monde et que mon pote apprend par les personnes qui sont là, que je n’ai pas fait ce qu’on m’a demandé, il est en droit de ne pas me rendre mes vêtements, charge à moi de rentrer à Prades à poil. (Dans ce cas, ce sera de nuit).
    Je préférerai de loin qu’il me rende mes fringues, en espérant que si il y a quelqu’un,  il me demandera de m’en aller et pas de faire des choses comme avec les joueurs de Hand. Je me rappelle, qu’ils m’avaient mis une corde autour du coup et promené autour du terrain à quatre patte et tout nu, puis ils m’ont amenés à l’extérieur et fais pisser contre un lampadaire, comme un chien (la honte). Et je passe sur le reste, pipe, branlette…

    J’aurais peut-être des choses à raconter au cours du prochain chapitre.

     

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