• Histoire du lez, chapitre 4

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    istoire du lez, chapitre 4

     

    Chapitre 4

     

     

     

    Me revoilà au bord du lez quelques jours après ma mésaventure avec le groupe de jeunes filles et garçons, ils ont du bien se marrer et en parler un bon moment, mais la vengeance est pas loin et ce jour en effet quand j’arrive vers mon lieu de baignade, j’entends des voix de jeunes, je me planque et observe discrètement, tient, deux jeunes et à y regarder de plus près c’est deux de ceux qui m’ont humiliés il y a quelques jours. Je vais me les faire ceux-là, c’est sûr…
    Je retourne à ma voiture que j’avais garée devant les jardins potagers, je récupère deux cordes, la tondeuse de mon chien, et un revolver fictif. Je retourne de ce pas vers le lieu de baignade, sans perdre de temps je m’approche des jeunes avec discrétion et fais une apparition fulgurante le pétard à la main.
    Allez les mains en l’air tous les deux, vous me reconnaissez, non qu’ils disent, il y a quelques jours avec vos copines et copains, non ce n’est pas nous, pas d’erreur je suis physionomiste, en plus vous avez gardé les même shorts, je suis sûr de moi.
    Oui, nous on a rien dit, et on a rien fait, on a fait que suivre les autres, bien sûr je vous croie, en attendant ça va être votre tour, et après vos copains quand je les attraperais. Commençons par le début, à poil criais-je, et vite, je n’ai pas que ça à faire, ça traîna en longueur, mais avec un pétard à la main, même si c’est un faux, ça dissuade. Ca y est, ils sont à poil, du moins nus, car à peine un petit duvet sur le pubis.
    Quel effet ça fait d’être à poil devant un mec, leur dis-je ? la honte qu’ils me répondent, c’est bien mais ce n’est que le début, je pense qu’il faudra tout de même que je ne traîne pas trop, si les autres arrivaient ce serait hot, pour moi.
     Je demande au blond, de bien vouloir attacher le brun à un arbre, ce qu’il fit et serre bien les mains, je contrôle pour être sûr, pas de soucis celui-là ne pourra pas se détacher. Je demande au blond de prendre la tondeuse et de raser la fine toison de son copain, ce fut vite fait, il n’y avait pas grand-chose, le petit brun s’est mis rapidement à bander, belle queue dis-je, en effet pour son âge c’est pas mal et prometteur, comment tu la trouve dis-je au blond, un peu gêné il répond : houai pas mal, donc puisque ça a l’air de te plaire, vas-y met la dans ta bouche et suce le bien à fond, le blondinet montra une certaine résistance mais après l’avoir légèrement bousculé il craqua et s’exécuta, au bout de quelque instants, le brun commença à se tortiller et poussa des gémissements quand tout à coup le blond cracha la semence qu’il venait de recevoir.
    J’attends un moment que les esprits retombent, puis opération inverse, le blond détache le brun et changement, au tour du brun de raser puis de sucer son copain, les blonds ils n’ont vraiment pas grand-chose comme poils et une peau bien blanche, son zizi relativement petit et fin fut avalé en totalité, au bout d’un moment le brun arrêta de sucer, je lui demande pourquoi, il me réponde que l’autre a joui et qu’il a tout avalé. Bon, je prends sa réponse pour argent comptant bien que je garde un doute. Avec la seconde corde j’attachai le brun à côté de son copain, je récupérai leurs shorts serviettes et tee-shirt, et m’éloigna du coin, au loin voyant arriver une bande de jeunes (les autres je suppose), je rebroussai chemin, longeai le lez et rentrai chez moi par l’autre côté du village.
    En route j’ai pris soin de jeter les habits des jeunes dans un conteneur.
    Cette vengeance m’ayant procuré un certain plaisir, je suis arrivé chez moi, je me suis dessapé et me suis branlé bien à fond.

    Le chapitre suivant parle de ma rencontre avec un homme qui souhaitait qu’un photographe le prenne en photo.

     

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